URGENCES. 
Ce mot là, vous le subissez en continu au milieu de tout le reste de vos journées.
À l’autre bout d’une des pointes du triangle, nos propriétaires : ils souffrent aussi de ce mot là.
C’est une crainte qui peut vite se transformer en terreur.
Ils savent bien qu’ils n’ont pas votre bagage qui s’appuie sur tous les gestes UTILES.
Eux vrillent souvent a contrario dans l’inverse : l’inutile qui fait l’impuissance de la panique.
La statistique est tristement confirmante : la précipitation sur les conseils…, du web...
Par celles et ceux qui sans qualification, s'octroient votre titre.

Ici, pas d’années d’étude, rien à voir avec votre formation continue, en continu.
Séminaires, recherche des dernières publications, échanges entre collègues.
Non, juste la certitude de savoir, l’injonction d'influence qui s’appuie sur la détresse.
Parfois, même pas l’élégance de défendre un savoir le faire : du préjugé de valeurs.
Enfin, surtout une conviction de la sienne propre…

Non, revenir à la réalité pour s’occuper de nous.
URGENCE = VÉTÉRINAIRE.
Droit vers les années d’étude et de pratique.
Pour mémoire : une passion…
Depuis quasi toujours.

Gyrophare en démultiplié sur un seul mot.
A pratiquer version je tente de reprendre mon souffle.
UNION.
De celle qui fait la force.