ANQUE
(de temps)
ANQUE
(de confiance)
MESURE
MANQUE DE TEMPS : C'est un leitmotiv qui sonne comme un symptôme devenu chronique.
Trop à accomplir dans un temps sous pression, trop à gérer, trop à faire dans l’urgence.
Le tout dans la gestion permanente des interruptions.
Votre rythme, pas UN jour, mais TOUS les jours est façonné de trop plein.
Plus le temps de penser (pardon sauf de tout ce qui nous concerne, nous et nos pathologies).
Plus le temps de souffler (mieux vaut ne pas aborder tout de suite la question de votre respiration)…
Avec une paille et ses effets délétères, par force, sur votre métabolisme.
Dans ce souffle souvent coupé, votre diaphragme doit assurer un choc.
LA MÉFIANCE de nos accompagnants (le MANQUE DE CONFIANCE tenant de la pointe de l’iceberg…)
Inutile de vous démontrer que nous aimons inconditionnellement nos humains.
En général, on se garde de tout commentaire.
Mais ils nous font parfois un peu, beaucoup, passionnément, voire plus…, honte.
En assumant le caractère du sacré de l’acte de notre soin, quid d’un MEA-CULPA ?
Reconnaitre cet état de fait : il y a pour le moins, un MALAISE ?
Identifier que l’on a pas forcement raison, voire que l’on peut avoir tort ?
Et si c’était se rapprocher du début d’une solution : RECONNAITRE ET IDENTIFIER.
Prendre LA MESURE de l’erreur potentielle pour qu’elle ne devienne pas une faute.
MERCI…
Trop à accomplir dans un temps sous pression, trop à gérer, trop à faire dans l’urgence.
Le tout dans la gestion permanente des interruptions.
Votre rythme, pas UN jour, mais TOUS les jours est façonné de trop plein.
Plus le temps de penser (pardon sauf de tout ce qui nous concerne, nous et nos pathologies).
Plus le temps de souffler (mieux vaut ne pas aborder tout de suite la question de votre respiration)…
Avec une paille et ses effets délétères, par force, sur votre métabolisme.
Dans ce souffle souvent coupé, votre diaphragme doit assurer un choc.
LA MÉFIANCE de nos accompagnants (le MANQUE DE CONFIANCE tenant de la pointe de l’iceberg…)
Inutile de vous démontrer que nous aimons inconditionnellement nos humains.
En général, on se garde de tout commentaire.
Mais ils nous font parfois un peu, beaucoup, passionnément, voire plus…, honte.
En assumant le caractère du sacré de l’acte de notre soin, quid d’un MEA-CULPA ?
Reconnaitre cet état de fait : il y a pour le moins, un MALAISE ?
Identifier que l’on a pas forcement raison, voire que l’on peut avoir tort ?
Et si c’était se rapprocher du début d’une solution : RECONNAITRE ET IDENTIFIER.
Prendre LA MESURE de l’erreur potentielle pour qu’elle ne devienne pas une faute.
MERCI…