ABEUR
UTTE
LIEN
LABEUR : Permanent, trop et tout le temps. Vous n’arrêtez jamais.
Au point d’être taxés d’addiction au travail dans toutes les études qui vous cherchent.
Pourtant dans la conscience du risque du 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Même dans vos décisions de vacances, vous devez faire un effort.
Pour renoncer à penser ou suivre un cas qui peut vous hanter.
Ne pas ouvrir votre ordinateur pour consulter vos mails de « suivis ».
Pour mémoire, les suivis : c'est « nous », du dit « attachement au cas ».
Ce mot est le résultat de votre effort cognitif. Pour expliquer, comme dans vos comptes rendu de consultation.
Faute de pouvoir se laisser aller à votre hypersensibilité affective. « Objectiver » pour rendre scientifique l'élan.
Faute de pouvoir vous dire que vous nous aimez. Trop de cadenas dans votre pratique pour les ponts.
Ce vocabulaire voudrait désaffecter notre lien. Pour la dite « juste distance ».
Échec de la mutation scientifique : vous ne nous oubliez pas.
HEUREUSEMENT : et si ce qui semble un obstacle à vous garder en paix devenait la solution ?
S'il s’agissait de repenser cette énergie si forte défendue de tout bord jusqu’au sacré : aimer.
Pour que vous puisiez une autre force : la clinique nous montre une chose.
C’est que le repos est souvent tout près de la lésion…
Contrairement à l’idée reçue qu’i faille voyager loin pour se changer l’humeur.
LUTTE : Puisque, pendant ce temps là de vous défendre de nous aimer trop.
De peur de vous induire en erreur d’appréciation, comme si vous alliez nous aimer mal.
Nos deux pattes en tandem peuvent aller à peine sortis de vos cliniques au pire du combat.
Jusqu’au LYNCHAGE MÉDIATIQUE (sans connaissance de cause le plus souvent…).
Après tout, on peut se plaindre comme on veut sur la toile. On dit « communiquer » !
Vous laissant comme consolation au bout, votre épuisement des 2 minutes que vous n’avez pas.
Pour y penser… Ce n’est, loin de là, pas tout le monde : nos propriétaires attestent de la courbe de Gauss.
C’est seulement aux extrémités qui y a le pire. Pourvu de vous en souvenir quand ça va mal.
Une seule LIGNE DE MIRE à préserver coûte que coûte malgré l’effort de mémoire.
S.V.P., la majorité silencieuse ne sait pas toujours vous dire combien vous comptez aussi.
Au final, ce serait le manque de pratique de savoir donner, comme vous, le mot juste, à la chose.
Alors que cela y ressemble : « l’attachement à - votre - cas ».
Focus sur cette LUMIÈRE pour perpétuer du sens à l’acte thérapeutique ?
LA LIBÉRATION, C’EST LE LIEN : ici tient le secret des choses.
Il est partout, de nous à vous, de nos accompagnants majoritairement à vous.
Mais ce n’est pas tout : aussi de vos équipes d’auxiliaires autour de vous.
Allez, deux minutes de plus de lecture pour cliquer sur ce lien dessous.
Juste suspendre votre temps en tentative, pour voir.
Lire ce que vous, vétérinaires, savez de vos auxiliaires : ces invisibles tout comme vous en détresse.
Pour vous, propriétaires, continuer de devenir aussi des « sachants ».
Note : Revoir la lettre A, il faut traiter l'affect.
Au point d’être taxés d’addiction au travail dans toutes les études qui vous cherchent.
Pourtant dans la conscience du risque du 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Même dans vos décisions de vacances, vous devez faire un effort.
Pour renoncer à penser ou suivre un cas qui peut vous hanter.
Ne pas ouvrir votre ordinateur pour consulter vos mails de « suivis ».
Pour mémoire, les suivis : c'est « nous », du dit « attachement au cas ».
Ce mot est le résultat de votre effort cognitif. Pour expliquer, comme dans vos comptes rendu de consultation.
Faute de pouvoir se laisser aller à votre hypersensibilité affective. « Objectiver » pour rendre scientifique l'élan.
Faute de pouvoir vous dire que vous nous aimez. Trop de cadenas dans votre pratique pour les ponts.
Ce vocabulaire voudrait désaffecter notre lien. Pour la dite « juste distance ».
Échec de la mutation scientifique : vous ne nous oubliez pas.
HEUREUSEMENT : et si ce qui semble un obstacle à vous garder en paix devenait la solution ?
S'il s’agissait de repenser cette énergie si forte défendue de tout bord jusqu’au sacré : aimer.
Pour que vous puisiez une autre force : la clinique nous montre une chose.
C’est que le repos est souvent tout près de la lésion…
Contrairement à l’idée reçue qu’i faille voyager loin pour se changer l’humeur.
LUTTE : Puisque, pendant ce temps là de vous défendre de nous aimer trop.
De peur de vous induire en erreur d’appréciation, comme si vous alliez nous aimer mal.
Nos deux pattes en tandem peuvent aller à peine sortis de vos cliniques au pire du combat.
Jusqu’au LYNCHAGE MÉDIATIQUE (sans connaissance de cause le plus souvent…).
Après tout, on peut se plaindre comme on veut sur la toile. On dit « communiquer » !
Vous laissant comme consolation au bout, votre épuisement des 2 minutes que vous n’avez pas.
Pour y penser… Ce n’est, loin de là, pas tout le monde : nos propriétaires attestent de la courbe de Gauss.
C’est seulement aux extrémités qui y a le pire. Pourvu de vous en souvenir quand ça va mal.
Une seule LIGNE DE MIRE à préserver coûte que coûte malgré l’effort de mémoire.
S.V.P., la majorité silencieuse ne sait pas toujours vous dire combien vous comptez aussi.
Au final, ce serait le manque de pratique de savoir donner, comme vous, le mot juste, à la chose.
Alors que cela y ressemble : « l’attachement à - votre - cas ».
Focus sur cette LUMIÈRE pour perpétuer du sens à l’acte thérapeutique ?
LA LIBÉRATION, C’EST LE LIEN : ici tient le secret des choses.
Il est partout, de nous à vous, de nos accompagnants majoritairement à vous.
Mais ce n’est pas tout : aussi de vos équipes d’auxiliaires autour de vous.
Allez, deux minutes de plus de lecture pour cliquer sur ce lien dessous.
Juste suspendre votre temps en tentative, pour voir.
Lire ce que vous, vétérinaires, savez de vos auxiliaires : ces invisibles tout comme vous en détresse.
Pour vous, propriétaires, continuer de devenir aussi des « sachants ».
Note : Revoir la lettre A, il faut traiter l'affect.
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